La peau à la ménopause : quels soins lui apporter?

La ménopause signe l’arrêt de la sécrétion d’œstrogènes par nos ovaires. La peau, sera la première carencée, est donc la plus sévèrement touchée. L’épiderme devient plus mince et la surface de la peau est plus sèche. La peau manifeste des signes de vieillissement comme l’apparition des rides, un relâchement cutané et des tâches pigmentaires. Pour bien préserver la peau, il est important de comprendre la nature et le rôle qu’elle joue. Ainsi connaitre les facteurs lié aux vieillissement prématuré, permet d’adopter des habitudes de vies saines et suivre un programme de soins efficaces pour la peau !

La peau : un organe dont il faut en prendre soin.

Elle est une enveloppe élastique qui recouvre le corps et s’amincit avec le temps. La peau forme une barrière cutanée  qui sépare l’organisme du milieu extérieur. Elle a pour fonction primaire de le protéger contre les agressions extérieures, notamment en prévenant la pénétration des germes.

Elle joue un rôle de thermorégulation par la transpiration, ainsi que par la dilatation et la contraction des vaisseaux cutanés. Enfin, la peau contribue à la synthèse de la vitamine D essentielle à tout âge.
La peau est constituée de trois différentes couches superposées : l’hypoderme, le derme et l’épiderme. L’hypoderme est la couche la plus profonde de la peau. Elle est composée de tissus adipeux (cellules graisseuses) et de tissus conjonctifs qui comprennent des fibres, des vaisseaux et des nerfs. Le derme est riche en fibres collagènes et en élastine. Ces fibres donnent à la peau sa résistance et son élasticité que l’on perd petit à petit à partir de l’âge de 25% à raison de 1% chaque année.  Le  relâchement cutané visible se voit  au début de la période de la ménopause. Le derme assure la nutrition de l’épiderme et répare les tissus endommagés.

Le rôle de la peau à la ménopause

L’épiderme est la partie externe de la peau, elle est constituée de cellules, kératinocytes. Ils sont serrées les contre les autres pour former une barrière cutanée contre les agressions extérieures. Parvenues à la surface externe de la peau, les cellules kératinocytes forment une couche de cellules mortes. Elles peuvent se desquamer naturellement ou en profondeur avec un peeling. Il renferme aussi des mélanocytes qui fabriquent la mélanine. Il est responsable de la couleur de la peau et de la capacité à bronzer.

Facteurs de vieillissement de la peau à la ménopause

Le processus du vieillissement est déterminé par des facteurs comme nos gènes, la ménopause avec les changements hormonaux, et également des facteurs extrinsèques comme l’exposition au soleil, le tabac et une alimentation carencée.
On ne peut exercer de contrôle sur les facteurs intrinsèques de vieillissement, mais on le peut sur les facteurs extrinsèques.
Le facteur génétique contribue de façon minime, soit de l’ordre de 10 %, au vieillissement prématuré de la peau. À la naissance, le type de peau a déjà été déterminé par la génétique. Bien qu’on ne puisse modifier l’hérédité, on doit connaître son type de peau de manière à mieux en prendre soin.

On peut présenter une peau grasse, mixte, sèche ou normale ; pour le déterminer, on peut recourir à une esthéticienne.

  • La peau grasse fait état d’un teint terne et luisant. Il affiche des pores dilatés et présente à l’occasion des boutons et des points noirs.
  • La peau mixte montre des régions sèches accompagnées de quelques régions grasses situées surtout sur la zone T ; le front, le nez et le menton.
  • La peau sèche est  un peu rugueuse au toucher et donne une sensation de tiraillement au visage. 

Par exemple, une personne a la peau grasse tandis qu’une autre présente une peau sèche ; elles choisiront donc des produits cosmétiques différents :
La première s’abstiendra de prendre des produits à base d’huile et celle qui aura la peau sèche évitera les produits à base d’alcool, trop desséchant.
Ce sont les habitudes de vie qui ont les conséquences les plus importantes sur le vieillissement prématuré de la peau à la ménopause, et les deux grands coupables sont l’exposition au soleil et l’usage du tabac.


Rayonnements solaires : attention aux longues expositions !

Le temps d’exposition et la concentration d’UV jouent un rôle prépondérant dans le vieillissement de la peau à la ménopause. En effet, les rayons ultraviolets (UV) sont responsables à 80 % de son vieillissement prématuré ; c’est un vieillissement photo induit, c’est-à-dire provoqué par la lumière.
Il existe trois catégories de rayons solaires : les rayons UVA, les rayons UVB et les rayons UVC. 

Ce sont les rayons UVA qui traversent le plus facilement la couche d’ozone et qui affectent la peau. Ils représentent 95 % des rayons UV qui atteignent la surface de la Terre.

Selon leur longueur d’onde, les rayons pénètrent plus ou moins profondément dans le tissu cutané.

Les rayons UVA, de longueurs d’onde longues, sont moins actifs, mais ils pénètrent plus profondément le tissu cutané. 80 % des UVA pénètrent dans le derme et fragilisent ainsi les fibres de collagène et l’élastine et 20 % atteignent l’hypoderme. Si les effets des UVA ne sont pas visibles dans l’immédiat, il n’en demeure pas moins qu’ils endommagent en profondeur la peau. Ils sont responsables de l’effet de bronzage et de l’apparition des rides. Les rayons UVB sont très actifs biologiquement et sont à l’origine des coups de soleil. Ce type de rayons ultraviolets attaque la couche externe de la peau, mais n’atteint pas le derme. Les rayons UVA et les rayons UVB sont associés au cancer de la peau à la ménopause . Plusieurs types de cancer se déclenchent le plus souvent au moment de la ménopause.

Comment influer sur la dose d’UV ?

Plusieurs facteurs peuvent influencer la dose d’UV reçue. La hauteur du soleil, de la latitude, de la couverture nuageuse, de l’épaisseur de la couche d’ozone et de la réflexion sur le sol. Il est reconnu qu’en été le soleil, entre 11 et 16 heures, transmet un niveau plus élevé d’UV, puisque son rayonnement traverse plus facilement l’atmosphère. Plus une personne s’expose au soleil près de l’équateur, plus le niveau d’UV augmente. C’est pourquoi à la ménopause on conseille d’appliquer  sur la peau une crème ayant un facteur de protection de 50 pour être mieux protégé contre les rayons UV. Le niveau d’UV peut être élevé en présence de nuages fins et légers. A la ménopause, je vous conseille des crème solaires avec des actions anti-âge tels que Foto ultra Active Unify 50+ qui atténue les tâches brunes ou Sun Breaker 50+, crème anti oxydante et anti glycation.
Cette couverture nuageuse bloque les rayons infrarouges et la lumière ; il fait alors moins chaud, mais les UV ne sont pas bloqués. Seuls les nuages noirs ou foncés empêchent les UVA et les UVB de traverser la couche d’ozone. 

Pénétration des UV sur la peau avec et sans protection solaire

Le lieu et le temps ont une influence sur la concentration d’UV ?

En été, il est possible d’attraper des coups de soleil même lorsque le temps est couvert.
Il existe donc un rayonnement direct, mais il faut aussi se méfier du rayonnement indirect. On peut considérer tout ce qui se trouve sur la surface du sol comme un miroir qui réfléchit les UV. Il est reconnu, par exemple, que le sable réfléchit les UV jusqu’à 15 % de plus que l’herbe. C’est la neige toutefois qui réfléchit le plus les UV, soit jusqu’à 80 % de plus. La mer réfléchit quant à elle environ 25 % des UV.
Il existe aussi un lien entre la destruction de la couche d’ozone de notre atmosphère et le rayonnement UV. Au cours des dernières années, la couche d’ozone est devenue plus mince. Les scientifiques reconnaissent qu’elle varie d’une journée à une autre, mais aussi que plus il y a d’ozone moins il y a d’UV. La valeur de l’indice UV indique l’état de la couche d’ozone et elle a été établie par l’Organisation mondiale de la santé.
C’est une échelle de mesure de l’intensité du rayonnement UV. L’indice UV varie de zéro  la
nuit à onze le jour selon les régions.

Protégez-vous du soleil !

La prévention du vieillissement cutané à la ménopause s’appuie sur l’utilisation d’écrans solaires. Ils doivent à la fois avoir une protection contre les rayons UVA et UVB et approuvée par l’Association Française des dermatologues.

Idéalement, on devrait appliquer une crème solaire sur la peau ayant un indice de protection d’au moins 30, et ce, une demi-heure avant d’aller à l’extérieur si l’indice UV est de 3 ou plus. Il est nécessaire d’appliquer la crème toutes les deux heures et après chaque baignade. On conseille d’éviter de s’exposer au soleil entre 11 et 16 heures, puisque les rayons pénètrent alors facilement la peau.

Porter également un chapeau à large bord, des lunettes de soleil et des vêtements amples et légers. Les vêtements de couleurs foncées protègent davantage la peau contre les effets néfastes du soleil. Il faut s’exposer progressivement au soleil afin de permettre au corps de mettre en place des mécanismes de défense naturelle. Choisir un endroit ombragé est la protection la plus efficace contre les rayons UV.

L’exposition longue et répétée : attention cancer !

Depuis 1996, il a été établi que les UVA peuvent provoquer une mutation dans le matériel génétique comparable ou supérieure à celle des UVB. De concert avec les UVB, les UVA sont aussi responsables du développement de cellules cancéreuses au niveau de la peau. Les lampes à bronzer émettent jusqu’à cinq fois plus de rayons UVA que le soleil.


Nonobstant, se faire bronzer sous ces lampes avant d’effectuer un voyage dans le Sud ne protège pas la peau du soleil des tropiques. Ces appareils de bronzage sont déconseillés pour la peau à la ménopause, plus sensible et plus sèche.

Toutefois, les femmes peuvent opter pour l’application de crèmes auto-bronzantes puisque ce type de lotions ne présente pas de danger pour la santé de la peau. Il est bien de savoir que les lotions auto-bronzantes ne protègent pas contre les rayons UV. Arrivée à la ménopause, il serait grand temps d’apprendre à être satisfaite de la couleur naturelle de sa peau.

Le tabac :

Il cause un vieillissement accéléré de la peau à la ménopause, particulièrement de la peau du visage. La nicotine du tabac provoque une vasoconstriction des vaisseaux qui entraîne une diminution de la circulation sanguine. Ainsi, les tissus sont moins oxygénés. Le fait de fumer nuit au système naturel de réparation de la peau. Les produits de la
cigarette dégradent les structures du derme en réduisant la production de collagène et d’élastine, c’est à la ménopause que l’on aperçoit la perte de l’éclat naturel de la peau, le teint apparaît plus grisâtre et des cernes aux yeux deviennent plus apparents.

L’alimentation :


Sa qualité joue un rôle important dans la santé de la peau. En effet, une alimentation pauvre en fruits, en légumes en acides gras essentiels active la dévitalisation de la peau. Quant à la santé et l’éclat de la peau dépendent de la consommation de différentes familles d’aliments.

Plus ou moins équilibrée et insuffisamment pourvue en gras essentiels et en vitamines, l’alimentation influera sur la qualité de la peau à la ménopause. Tout comme l’absence d’activité physique influera sur l’oxygénation des tissus et sur le stress. Enfin, le manque d’hydratation et une gestion inefficace du stress joueront un rôle non négligeable sur la peau également !

Les antioxydants : à consommer tous les jours !

Les aliments et les antioxydants sont riches en acides gras oméga-3, et préservent la qualité des tissus cutanés et doivent être intégrés chaque jour à l’alimentation.

Ils sont des composés qui luttent contre les radicaux libres en empêchant l’oxydation; la membrane de la cellule est défendue en empêchant le corps d’oxyder les protéines et les acides gras, protégeant ainsi les cellules. Les radicaux libres contiennent un électron supplémentaire et visent à altérer le gras des membranes protectrices des cellules. Ils accélèrent le vieillissement de la peau en dégradant le collagène, ce qui diminue les capacités de la peau à s’hydrater.

Anti-oxydant : Anti-rouille

Comme pour la rouille sur la carrosserie d’une voiture, l’oxydation produite par les radicaux libres attaque les cellules et les tissus de l’organisme et accélère le vieillissement. Les radicaux libres sont produits par l’activité des cellules, mais aussi par des facteurs externes comme le soleil, le tabagisme, la pollution.

A la ménopause,  la consommation régulière d’antioxydants peut contribuer à l’élimination des radicaux libres en excès dans l’organisme et dans la peau. Les principaux antioxydants dans l’alimentation sont la provitamine A sous forme de bêta-carotène, les vitamines C et E, le sélénium, le zinc et les polyphénols. Certains auteurs utilisent de manière indifférenciée les termes vitamine A et bêta-carotène pour préciser les principaux antioxydants présents dans l’alimentation.

La glycation : caramélise le collagène !

Elle a une incidence sur le vieillissement prématuré de la peau. C’est une réaction chimique résultant de la fixation des sucres sur les protéines. Notre corps contient 70% d’eau dans laquelle se trouvent  les protéines. Celles-ci, lorsqu’elles sont « glyquées » ne peuvent être ni détruites, ni expulsées de la cellule dans laquelle elles se sont accumulées. Dans les vaisseaux sanguins ces protéines glyquées rigidifient les parois qui ne laissent plus passer suffisamment de nutriments.

Glycation : Caramel

Dans le derme,  les fibres de collagène et d’élastine se caramélisent, on appelle ce phénomène la glycation. Réticulées, elles s’agglomèrent peu à peu entre elles, se durcissent, perdent de leur souplesse et peuvent même se déchirer. Il y a  apparition de rides et une perte de tonicité de la peau. Au niveau du derme ces fibres réticulées, glyquées vont produire des radicaux libres qui vont attaquer les cellules voisines. Ces dernières ne sont plus capables de produire de l’acide hyaluronique, du collagène, de l’élastine et de la laminine. La glycation apporte une peau cartonnée, qui manque de luminosité, avec des altérations cutanées visibles et une sensation d’inconfort (peau sèche, qui tiraille). Au moment de la ménopause,  il est conseillé et facile de connaître l’état de notre glycation grâce à une simple prise de sang qui mesure notre taux d’hémoglobine glyquée. »

Quelle alimentation pour freiner la glycation ? :

Éviter tout ce qui est trop grillé : viande, volailles rôties, pain, desserts caramélisés. Ainsi que les sucres blancs  comme le sucre de table qui provoquent un pic glycémique et insuline élevé. Préférer des cuissons à la vapeur ainsi que les farines intégrales, sucre de coco, sirop d’agave à Indice glycémique bas. Consommer une sucrerie à la fin du repas plutôt que seule en milieu d’après-midi pour éviter les pics d’insuline. Il existe des compléments alimentaires à base de Carninine et de L-carnosine qui freinent et diminuent la glycation.

Les vitamines incontournables :

La vitamine A :

Les aliments d’origine animale sont les principales sources de vitamine A. A la ménopause le derme s’amincit et devient transparent. Manger des aliments contenant la vitamine A activent la redensification de la peau.  Le bêta-carotène,transformée en vitamine A dans l’organisme, se trouve dans les fruits et les légumes colorés (orange, melon, mangue, carotte, brocoli, épinard, patate douce).
L’apport en bêta-carotène recommandé par les nutritionnistes est de 3 à 5 mg par jour; la patate douce, par exemple, en renferme 8 mg.

La vitamine C :

Appelée également, acide ascorbique, la vitamine C possède des propriétés antioxydantes et est indispensable à la formation du collagène. De nombreux fruits et légumes contiennent de la vitamine C: les oranges, les fraises, les légumes de la famille des choux et les épinards sont de bons exemples. La dose quotidienne requise se situe entre 100 et
120 mg; une seule orange en contient 70 mg.
Il est important de se rappeler que la cuisson détruit une grande partie de la vitamine C et que le corps est incapable d’en emmagasiner.
A la ménopause, mangez tous les jours des aliments riches en vitamine C et votre peau ne sera que plus lumineuse !

La vitamine E :

C’est une vitamine anti-oxydante à ne pas manquer à la ménopause. La vitamine E est contenue principalement dans les aliments gras; comme les graines, les noix, les avocats et les huiles végétales. Malheureusement, la lumière peut la dégrader; aussi faut-il conserver les aliments riches en vitamine E  à l’abri de la lumière. En revanche, la vitamine E est
une vitamine liposoluble, c’est-à-dire soluble dans les graisses, ce qui permet au corps d’en emmagasiner dans le foie et de la rendre disponible au besoin. Le besoin nutritionnel quotidien en vitamine E est de 15 mg ; par comparaison, une portion d’amandes en fournit 7,9 mg.


Le sélénium a aussi un effet antioxydant. Tout comme la vitamine E, il protège l’organisme contre les radicaux libres découlant des réactions d’oxydation. C’est un oligo-élément qui intervient dans plusieurs réactions biochimiques et métaboliques. Les oligoéléments sont des minéraux présents en très petites quantités dans l’organisme, mais néanmoins essentiels à son fonctionnement. Comme le corps ne peut en fabriquer, il faut assurer un apport régulier. La teneur en sélénium des grains et légumes dépend de sa teneur dans le sol. Les poissons et les fruits de mer en contiennent, c’est la noix du Brésil qui se classe au premier rang. La dose quotidienne requise en sélénium est de 55 ug par jour au moment de la ménopause.

Le zinc :

Il est aussi un oligo-élément antioxydant et incontournable à la ménopause, le zinc prévient les effets toxiques reliés aux radicaux libres et évite la perte de cheveux. Les apports recommandés en zinc sont de 15 ug chez l’adulte. 

Les viandes, les poissons, les huîtres, les noix et les céréales sont riches en zinc.

Les polyphénols :

Ceux-sont les antioxydants que l’on trouve le plus abondamment dans l’alimentation; notamment dans le café, le thé, le vin, les fruits et les légumes. Il semble que les boissons comme le café, le thé vert ou noir et le vin rouge en contiennent plus que les fruits rouges et les légumes verts. Les polyphénols protègent les cellules contre les lésions oxydatives et, contrairement aux vitamines, ils ne sont pas sensibles à la chaleur et à la lumière. On estime qu’un adulte  consomme habituellement 1 g de polyphénols par jour.

Les acides gras essentiels :



Ce sont des gras polyinsaturés de type 3 et 6 qui sont indispensables aux fonctions physiologiques du corps. Les acides gras dits essentiels contribuent au soin de la santé de la peau à la ménopause. Ils ne sont pas fabriqués par l’organisme, mais fournis par l’alimentation. Il est important à la ménopause de ne pas en manquer. Ils améliorent l’hydratation et la souplesse de la peau et aident les cellules cutanées à mieux communiquer entre elles. Les acides gras oméga-3 proviennent de sources marine ou végétale.
Les meilleures sources marines sont les poissons gras. Les oméga-3 de source végétale se trouvent dans les noix de Grenoble hachées, les graines de lin moulues et les huiles de lin, de canola et de soja.
L’apport en oméga-3 est de 1,3 g par jour.


La viande et l’huile végétale utilisée pour les assaisonnements sont les principales sources d’oméga-6. Attention, plusieurs produits alimentaires industrialisés en contiennent à des quantités importantes. On doit donc limiter les apports en oméga-6 en privilégiant des préparations maison et en utilisant l’huile d’olive qui est considérée
comme neutre.

Pour plus d’information sur l’alimentation à consommer à la ménopause cliquez sur ce lien : Bien manger pour mieux vieillir !


Pensez à bien vous hydrater !

A la ménopause veillez à ne pas vous déshydrater, l’hydratation est essentielle à l’organisme et à la peau. Hydrater, c’est donner de l’eau au corps et à la peau sous forme de liquides ou d’aliments.
Le corps a besoin d’un apport journalier en eau de 2,5 litres (L), dont 1 L provient des aliments riches en eau comme les fruits et les légumes et 1,5 L provient de diverses boissons.

Contrairement à la croyance populaire, les boissons qui contiennent de la caféine (ou théine) contribuent à l’hydratation totale. En effet la réaction diurétique d’un thé ou d’un café est compensée par la quantité d’eau contenue dans la boisson. Toutefois les boissons renfermant 10 % et plus d’alcool contribuent à des pertes d’eau.
Les besoins en eau varient d’un individu à un autre et de jour en jour. Les personnes qui font davantage d’activités physiques doivent augmenter leur apport en eau et en boire avant, pendant et après l’activité
physique ou l’entraînement. 

Attention aux températures caniculaires

En période de canicules, au milieu de vie, on recommande de doubler la quantité de liquides ingérés par jour. Et de bien hydrater la peau à la ménopause avec un sérum ou une crème.
On ne doit pas attendre d’avoir soif pour boire, car le fait d’avoir soif indique déjà que l’organisme manque d’eau. En milieu de vie, il est souhaitable de boire de petites gorgées d’eau tout au long de la journée. Bien mieux que de se limiter à ne boire qu’aux repas.


Diminuer votre  stress :

Une gestion inefficace du stress contribue au vieillissement prématuré de la peau. Selon certains auteurs, le lien étroit entre stress et peau s’explique par le fait que les cellules de la peau et du système nerveux proviennent des mêmes cellules primitives, d’où les maladies de peau comme le psoriasis et l’eczéma.
Il y a aussi que la majorité des cellules de la peau possèdent des récepteurs répondant aux hormones dites « de stress » qui déclenchent la vasoconstriction des vaisseaux sanguins, privant ainsi la nourriture et d’oxygène. Enfin, le stress  engendre la fatigue qui, à son tour, a un effet sur le teint, l’éclat général de la peau.

Les différents types de stress :

Les stress physiologiques causés par l’état de santé et les passages naturels comme la puberté ou la ménopause; et ceux associés aux conditions de vie et aux problèmes relationnels, personnels et professionnels. Il y a les stress faisant partie de la vie quotidienne et découlant de situations aussi bien agréables que désagréables.

Il peut s’agir : d’événements importants de la vie, par exemple un mariage, une promotion, un déménagement, un décès; de sources d’inquiétude persistantes, comme des problèmes financiers, la maladie; l’entrée en ménopause, de contrariétés quotidiennes comme : les embouteillages.

Identifier et gérer le stress :

Il créé une réaction du corps aux événements nouveaux ou imprévisibles de la vie qui viennent perturber son équilibre habituel. C’est la façon dont le corps répond lorsqu’il est soumis à des pressions provenant de l’environnement. Les réactions au stress varient d’une personne à l’autre. Exemple : si une personne  perçoit une situation nouvelle comme un défi, ses réactions seront positives. Elle pourra voir la situation comme une source de stimulation, de motivation pour passer à l’action.

En période de ménopause, une situation nouvelle considérée menaçante,  pourra se ressentir en tension musculaire, vivre de la frustration, se sentir irritable et avoir tendance à manger davantage.

Quelles solutions face au stress ? :

Comme chaque personne réagit différemment aux sources de stress, il n’existe pas une solution unique pour faire face aux agents stressants. Il est recommandé plusieurs méthodes pour mieux gérer le stress à la ménopause. On doit identifier les éléments qui ont déclenché le stress et les facteurs susceptibles de l’entretenir. Ensuite chercher des solutions en parlant du problème à une connaissance ou à un professionnel de la santé. Il est possible d’apprendre des techniques pour mieux gérer le stress, par exemple en se centrant sur le moment présent et en se fixant sur la réalité.
On peut aussi diminuer l’état de tension en faisant de l’activité physique et en utilisant des techniques de relaxation, respiration ou pratique de yoga ou pilâtes.

L’activité physique : un anti-âge naturel

L’exercice physique a des effets positifs sur la gestion du stress. Et pour cause, elle favorise une bonne oxygénation des tissus cutanés, et influence positivement le processus du vieillissement naturel de la peau. Les experts recommandent aux personnes de plus de 50 ans de faire de l’exercice physique pendant minimum 150 minutes par semaine. Il est conseillé de choisir une activité agréable, par exemple; le vélo, la course à pied,  pilâtes, la marche, la natation, le golf, ou la danse. Il est bénéfique d’intégrer à son programme d’activité physique; des exercices de souplesse 4 à 7 jours par semaine, et de musculation 2 à 4 jours non consécutifs par semaine.


Programme de soins anti-âge pour la peau :

Pour bien prendre soin de sa peau à la ménopause, il faut adopter une vie saine et établir des soins d’hygiène.

Se laver tous les jours est essentiel au confort et à la santé. En effet, une toilette quotidienne est requise pour se débarrasser de la sueur et de la poussière cumulée pendant la journée et la nuit. L’eau ne réussissant pas à dissoudre les débris sur la peau, il est nécessaire d’utiliser un nettoyant comme un gel douche, ou un savon surgras (enrichi d’agents graissants). Un savon ordinaire a un pouvoir nettoyant, mais il modifie le pH de la peau et abîme la mince couche protectrice recouvrant la surface de l’épiderme, qu’on appelle film hydrolipidique.

Prendre soin de son épiderme :

Le film hydrolipidique, constitué principalement de sébum, de sueur et d’eau, assure la protection naturelle cutanée. Il important de maintenir le pH de la peau à 5,5. De garder intact le film hydrolipidique puisqu’il joue un rôle essentiel dans l’élasticité et la souplesse de la peau. Pour la peau à la ménopause, il vaut mieux préférer les douches aux bains. En effet, les bains chauds fréquents peuvent dessécher de l’épiderme. La température d’un bain doit être inférieure à 25 °C et sa durée de moins de 15 minutes. Il est aussi préférable d’utiliser de l’eau tiède lors de la douche afin de conserver le film hydrolipidique. Sécher le corps en tamponnant doucement la peau au lieu de la frotter évite d’agresser l’épiderme. Hydratez bien le corps à l’aide d’une crème adaptée à sa peau, elle saura restaurer et entretenir le film hydrolipidique de l’épiderme.

Au milieu de vie, c’est sur l’épiderme du visage que se révèlent les premiers signes visibles du vieillissement. Les femmes de 50 ans doivent prendre soin de leur visage afin de mieux freiner les marques du temps.

Il est essentiel à la ménopause  de se focaliser sur les changements visuels, tout en soutenant les mécanismes physiologiques de l’effet du déséquilibre hormonal. Pour cela, mettez en pratique un programme capable de compenser l’impact de la ménopause sur le vieillissement de la peau.

Voici mes conseils pour prendre soin de votre peau :

La beauté et la santé se révèle au premier coup d’œil par l’aspect et le teint de la peau.

Au milieu de vie, choisissez  un soin visage concentré en actifs « rétinol like », naturels ou Bio qui redonnent de la densité à la peau en préservant votre capital santé. Il redonnera ainsi du volume aux pommettes et redessinera l’ovale du visage. Ils améliorent l’élasticité de la peau en inhibant des enzymes délétères qui dégradent le collagène. En surface la micro relief cutané est restauré, la peau paraît plus jeune.

Il existe des actifs cosmétiques pour palier à nos carences hormonales en esthétiques en fonction de notre type de peau. Depuis ces dernières années des laboratoires cosmétiques travaillent sur le sujet afin de trouver des remèdes soins.

Quels types de cosmétiques ?

S’orienter vers les soins enrichis en phyto-hormones (kudzu, soja, bourrache, onagre.), vous aidera à stabiliser la production d’hormones ovariennes (œstrogènes et progestérones) et le maintien de l’élasticité de la peau. La plupart des cosmétiques pro-ménopause en contiennent sous forme d’extraits. Me consulter si vous souhaitez avoir le nom de produits.

Estomper les rides avec des actifs  « Botox like » et vitamine C.

Réveiller la tonicité de la peau avec des actifs défatiguants comme le ginseng, le thé blanc et la vitamine C.

Hydrater et nourrir la peau avec des soins émollients ou humectant aux extraits d’algues vertes et acide hyaluronique. Coté hydratation à la ménopause privilégiez l’urée  qui est un excellent humectant, sans oublier l’acide hyaluronique. A choisir avec les deux poids moléculaires, car le haut poids, lisse et protège la surface de la couche cornée de la déshydratation. Le bas poids synthétise notre propre acide hyaluronique tout en stimulant les fibroblastes. Double bénéfice !


Comment optimiser l’effet des soins ? :

Peau plus sèche, moins tonique, tâches brunes, teint terne, rides accentuées… 83 % d’entre nous, dès 50 ans, constatent sur leur visage les conséquences de la ménopause.

Tout d’abord pour être efficient, il est important de bien connaître son type de peau et solliciter l’aide d’une ou d’un professionnel pour choisir les produits adaptés à sa peau.

Routine de beauté :

– Nettoyer le visage deux fois par jour,  le matin et le soir, en utilisant un lait nettoyant ou gel micellaire ne contenant pas d’huile de pétrole (liquidum paraffinum) qui empêcherait l’absorption des actifs dans la peau.Il est conseillé d’éviter également le savon, trop asséchant. Après l’utilisation de la solution nettoyante, appliquer un tonique à l’aide d’un coton pour parfaire le nettoyage, les peaux sèches doivent veiller à utiliser un tonique sans alcool.

Hydrater :

– Appliquer un sérum hydratant, à l’acide hyaluronique et déstressant. Ce produit est utile puisqu’il aide le derme à mieux absorber les actifs et en démultiplier les effets. Le sérum booster EFFECT remplit cette fonction en contenant les deux poids moléculaires en acide hyaluronique.

– Appliquer une crème hydratante de jour contenant des antiradicalaires (anti-pollution) hydrate EFFECT, des actifs hydratants sur le long terme et persistant, des antioxydants et de la vitamine C pure ou en extrait de fruits Flavo C Vitamine C.

Redensifier et raffermir :

– Appliquer le soir une crème de nuit, contenant des actifs redensifiants, hydratants et anti-âge. Je vous conseille la crème lift EFFECT Bio, anti-âge, hydratante et un vrai architecte de la peau. Ce geste de beauté est vivement recommandé à la ménopause pour freiner le relâchement cutanée qui s’accélère !

Peau nette quotidiennement :

– Procéder délicatement à une exfoliation de la peau une fois par semaine, à l’aide d’un gommage mécanique et/ou d’une brosse  nettoyante quotidienne. Le peeling EFFECT  est un véritable gommage mécanique « peau nette », que l’on peut parfaire quotidiennement avec la brosse Lumispa, elle permet d’éliminer les cellules mortes et de conserver un teint radieux. La synergie du gommage et de la brosse boosteront la luminosité du teint avec un effet anti-âge !

Les soins esthétiques proposés par les médecins :

Le peeling ou gommage :

Depuis plusieurs années, il existe des techniques esthétiques non chirurgicales effectuées par les dermatologues, pour améliorer la santé de la peau et retarder son vieillissement. C’est le cas du peeling, des injections d’acide hyaluronique, de la toxine botulique, de la microdermabrasion et du photo-rajeunissement.
Le peeling vient du verbe  » to Peel  » qui signifie peler. Il consiste à appliquer sur la peau une substance chimique ou un laser pour enrayer les imperfections liées au vieillissement.

Quand il se limite à l’épiderme, c’est le peeling superficiel, quant au peeling moyen, il atteint la chair jusqu’au derme superficiel, et pour le peeling profond, il attaque le derme profond situé à l’interface de l’hypoderme et où logent les glandes sudoripares et sébacées.

Quels sont les résultats des peeling superficiels

Ce type de gommage professionnel stimule la fabrication de fibres d’élastine et de collagène. Ces techniques ont fait leurs preuves, mais elles présentent néanmoins certains risques dermatologiques assez rares. Il peut arriver à la ménopause qu’apparaissent des taches brunes concentrées aux endroits les plus exposés au soleil ; ce phénomène s’appelle hyperpigmentation. On peut aussi voir apparaître de l’acné, des rougeurs et même une éruption d’herpès simplex.

La microdermabrasion est une technique d’exfoliation très superficielle de la peau. Elle consiste à pulvériser de minuscules cristaux minéraux sur le bouclier dermique, à aspirer ensuite les cristaux et les débris dans un réceptacle, ou encore à utiliser un outil diamanté de polissage. Elle enlève une mince couche de l’épiderme, et stimule ainsi le processus biologique et naturel de la réparation de la peau ménopausée.

Est-ce invasif ?

C’est une méthode non invasive qui nécessite plusieurs traitements pour arriver à des résultats visuels apparents. La microdermabrasion donne plus d’éclat au visage et réduit les rides et les ridules. En tant qu’agression cutanée, elle implique quelques risques, soit l’apparition de rougeurs ou encore le déclenchement d’un épisode d’herpès. Il existe en cosmétiques des peeling avec des cristaux de silice, qui font des gommages en profondeur remarquables.

Le gommage peeling EFFECT de Nature Effiscience est un gommage à dermabrasion, il est à base de micro grain de silice utilisé par les médecins anti-âge.

La toxine Botulique :

Plus connue sous le nom de Botox, la toxine botulique a la propriété de relâcher les muscles. Grâce aux injections, le médecin esthétique provoque des micro-paralysies musculaires qui atténuent les rides horizontales et verticales. Ces injections représentent un procédé rapide, non douloureux et leur effet apparaît après trois à sept jours pour ensuite disparaître au bout de trois à six  mois.
En raison des très faibles doses injectées, les effets secondaires sont rares, mais des sujets présentent parfois des maux de tête et une sensibilité ou une ecchymose au site de l’injection. Si le Botox est injecté aux mauvais endroits, on peut observer un affaissement des paupières ou un relèvement de la lèvre.

A-ton du recul sur le botox esthétique ?

À ce jour, la communauté scientifique ignore dans quel état seront les muscles mis au repos par la toxine botulique à la ménopause ou dans 15 ou 20 ans. En 2008, Santé Canada informait le public de l’existence d’un lien entre
le Botox cosmétique et certains décès ou le développement de problèmes respiratoires sévères après un traitement. Ces effets indésirables s’expliqueraient par la dispersion de la toxicité botulique dans le corps.
À ce jour, il n’existe aucun cas confirmé de dispersion de la toxine cosmétique dans le corps. D’où l’importance de faire appel à des professionnels de la santé qualifiés pour administrer le Botox cosmétique.

Le Photo-rajeunissement : une technique rajeunissante non-invasive

C’est une autre technique non invasive qui freine les marques du temps à la ménopause. Le procédé du photo-rajeunissement consiste à stimuler la peau grâce à l’énergie diffusée par la lumière intense pulsée. Cette lumière de longueurs d’onde variables permet de corriger les signes de vieillissement; les taches pigmentées, les varicosités et les autres défauts inesthétiques.

Il a une action sur le derme en stimulant les cellules. Cette stimulation  produit une augmentation de la production de collagène et d’élastine, deux substances naturelles contribuant à
augmenter l’élasticité de la peau non négligeable à la ménopause. Plusieurs séances sont nécessaires pour atténuer les imperfections et tonifier le derme. Le degré d’amélioration de la peau se fait graduellement, et peut s’étendre sur cinq à six mois selon les dommages à traiter, et ce, à raison de cinq à six sessions aux quatre semaines.

A quelle fréquence ? :

Pour conserver les bénéfices du photo-rajeunissement, les sujets doivent se soumettre à une session d’entretien tous les quatre mois. Bien que les effets secondaires soient pratiquement nuls, les patients peuvent présenter une rougeur locale, de l’œdème sur la peau environnante, la formation de croûtes ou d’ampoules (phlyctènes)
et un changement pigmentaire constaté en période de ménopause. Il n’est pas rare qu’une sensation de chaleur et de picotement soit ressentie.

A faire chez soi : le layering, un feuilleté d’actifs sur la peau

A la maison, vous pouvez superposer les soins pour bénéficier de ces divers actifs. Un seul impératif : Bien se nettoyer la peau du visage avec un gel micellaire sans dérivés d’huiles de pétrole. Puis appliquer le tonique en premier, ensuite le sérum, après une crème hydratante ensuite appliquer une crème restructurante anti-âge et finir par le soin contour des yeux. Accompagner les applications par quelques massages souvent mentionnés sur la notice ou en pictogramme sur l’étui.

Les Coréennes utilisent régulièrement la technique du layering, à ce jour, c’est le meilleur programme anti-âge à la ménopause !

Si vous souhaitez savoir avec quels produits vous pouvez effectuer le layering, contactez-moi par commentaires.

Le layering avec des cosmétiques spécifiques.

Attention, le layering ne peut pas se faire avec tous les cosmétiques! Car la succession des crèmes ne pénètrent pas. L’ajout de silicones, de collagène etc… dans la formule pour la rendre plus marketing et très soyeuse … empêchent les soins de pénétrer rapidement et correctement.  Les crèmes ne peuvent pas se superposer pour effectuer un layering efficient, les actifs s’évaporent et les crèmes mélangées boulochent faute de ne pas pouvoir pénétrer la couche cornée rapidement.

Il y a très peu de marques de cosmétiques qui proposent des soins actifs prévus à la fois au layering et à la ménopause, si vous souhaitez connaître des produits qui fonctionnent admirablement, je vous invite à m’écrire par commentaires.

5 Commentaires

  1. Merci Catherine pour cet article très complet et intéressant ! J’ai appris de nouvelles choses, qui complètent d’autres connaissances, voilà qui est parfait pour faire bouger les lignes et vivre cette période comme la libération qu’elle est aussi ! Merci.

  2. Article extrêmement complet et intéressant.
    Il faut prendre soin de sa peau, on ne le dira pas assez, mais il faudrait que les jeunes femmes en prennent conscience aussi, même s’il est jamais trop tard.
    Merci pour ce bel article.

  3. Merci Catherine pour cet article très complet et intéressant. J’ai appris de nouvelles choses qui complètent d’autres connaissances. Voilà qui est parfait pour faire bouger les lignes et vivre cette période comme la libération qu’elle est aussi! Merci

    • Merci Marie-Josée, oui tout à fait la ménopause est une libération de la femme! Et c’est la période propice de prendre soin de soi!

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